En Corse, à bord d’un train n’est pas comme les autres

En Corse, à bord d’un train n’est pas comme les autres

Exploités dès la fin du XIXe siècle, les chemins de fer de la Corse offre une plongée au cœur de l’île de Beauté.
Entre Bastia et Ajaccio, ou depuis Calvi, ces trains d’un autre temps permettent notamment de traverser la montagne loin des sentiers battus.
Le 13H de TF1 vous embarque à bord.

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Le 13H

Créé en 1888, le train corse n’a vraiment rien d’un TGV, sauf à parler de « train à grande vibration ». Embarquer à bord, c’est comme faire un saut dans le passé. Ici, tout le monde se parle comme à l’ancienne. Pour six euros, la petite micheline se fraye un chemin dans le maquis, bien loin de la route principale. Comme un éloge à la lenteur, le train berce même certains passagers, mais c’est ce qui fait son charme. 

Une fenêtre distinctive sur la Corse sauvage

On ne boude pas non plus son plaisir à la montagne. Sur cette deuxième ligne du réseau, le train est plus moderne, donc plus silencieux, mais le paysage est tout aussi pittoresque. Quand soudain, en sortant du maquis, l’immanquable pont du Vecchio, classé monument historique, se dévoile. Mais il n’est pas le seul bijou d’structure du trajet.

  • La SNCF a clarifié le 15 février dernier sa politique concernant les bagages dans ses trains.

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À la gare de Vizzavona, les voyageurs qui attendent le train sont nombreux, mais sont sufferers. Le train, ici, c’est une philosophie. Plus qu’un moyen de transport, c’est surtout une fenêtre distinctive sur la Corse sauvage et ses richesses. Mais consideration à bien regarder les horaires, il ne passe que cinq fois par jour.


La rédaction de TF1info | Reportage TF1 : Emmanuelle Rouillon, Philippe Pelletier et Nicolas Wallon

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