VIDÉO – « J’ai vu plein de belles choses dans ma vie, mais ça, c’est magnifique » : à la découverte du désert de Namib

VIDÉO – « J’ai vu plein de belles choses dans ma vie, mais ça, c’est magnifique » : à la découverte du désert de Namib

Le désert de Namib est le plus ancien du monde.
TF1 a rencontré des Français partis à l’ascension de ses dunes rouges, les plus hautes du monde.
La région comporte aussi une importante réserve de faune, peuplée de centaines d’oryx.

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« Se lever tôt et arriver de nuit, comme ça, c’est super. » Devant les caméras de TF1, une famille de Grenoblois entame au petit matin l’ascension des plus hautes dunes du monde, celles du désert de Namib (Namibie), caractérisées par leur couleur rouge. Ces touristes français ne regrettent pas d’avoir fait le voyage : « C’est vraiment l’opposé total de ce qu’on peut voir chez nous, donc c’est assez incroyable », s’extasie une jeune femme.

Créé il y a près de 60 tens of millions d’années, le désert de Namib est le plus ancien du monde. Il longe la côte atlantique sur près de 1.500 kilomètres.  Au milieu de ce désert se trouve le web site le plus visité de Namibie : Dead Vlei, un paysage atypique où des arbres figés, morts depuis 900 ans, surgissent du sable, comme le montre la vidéo en tête de l’article. Le spectacle ne laisse personne indifférent : « Je suis enchantée. J’ai vu plein de belles choses dans ma vie, mais ça, c’est magnifique. La nature nous domine », s’émeut une Française.

La faune fait son retour

Un peu plus loin, là où le désert rencontre la montagne, s’ouvre la plus grande réserve privée de faune sauvage du pays : Namibrand. Celle-ci a été créée il y a 30 ans, lors du rachat de plusieurs fermes, dans le however de favoriser le retour de la faune sauvage qui avait déserté la région. « Beaucoup d’animaux avaient disparu à cause des fermes », raconte Elton Vries, qui travaille pour Namibrand. « Mais maintenant, grâce à la restauration des terres, beaucoup de ces animaux reviennent. »

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« L’objectif de la réserve, c’est que les générations futures puissent continuer à voir des oryx pendant des centaines, des milliers d’années »,  martèle Elton Vries. Depuis la création de Namibrand, des centaines d’oryx, bovidés de la famille des antilopes, ont fait leur retour. Et ce, malgré le manque d’eau : dans ce désert, il n’a pas plu depuis deux ans.


IM | Reportage Linda HURÉ et Frédéric LARREY

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