Comment trouver un guide touristique gratuit pour visiter une ville ?

Comment trouver un guide touristique gratuit pour visiter une ville ?

Une affiliation internationale suggest de mettre en relation des locaux et des touristes.
Les greeters font visiter gratuitement leur ville autour de balades thématiques.

Visiter Annecy à vélo, randonner dans le Lubéron, goûter les produits locaux sur les marchés poitevins… Malgré les tutoriels sur les réseaux sociaux, difficile de découvrir les meilleurs chemins par soi-même. Si vous voulez prendre un guide touristique professionnel, l’expérience peut vous ruiner : il faut débourser environ 200 euros pour deux heures de visite à Paris.

Depuis 1992, une affiliation met en relation des guides bénévoles et des touristes. Dans plus de 130 pays du monde entier, les greeters (hôtes en français) partagent les petits secrets and techniques de leur ville ou région dans une promenade de deux à trois heures. « Découvrez nos villes comme vous ne les avez jamais vues ; laissez-vous conter à quoi ressemble la vie ici ; mettez-vous à jour des derniers ragots et familiarisez-vous avec le lieu dans une atmosphère détendue et informelle », écrit l’affiliation sur son web site.

La rencontre, authentique et participative, reste gratuite. En France, ce mouvement collaboratif remporte un franc succès : en 2011, la France est devenue la première vacation spot greeters au monde. L’hexagone représente aujourd’hui un tiers des échanges organisés par le mouvement worldwide.

Comment trouver un greeter ?

Pour bénéficier du service, rien de plus easy. Rendez-vous sur le web site du greeter native. Choisissez un guide, la thématique que vous voulez approfondir et remplissez un formulaire de contact. Plus vous serez précis, plus le guide pourra personnaliser votre promenade. Une fois l’inscription confirmée, vous entrez en contact par mail ou téléphone avec votre guide bénévole.

Attention, si vous bénéficiez d’un greeter à l’étranger, le web site recommande de maîtriser quelques rudiments d’anglais ou de la langue locale.


Geoffrey LOPES

Add a Comment

Your email address will not be published.

Translate »